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Théâtre-Roman
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21 octobre 2012

Acte II

Scéne 2

(Napoléon Bonaparte) : de même encore, bien souvent la pensée des agonisants est tournée vers le côté effectif, douloureux, obscur, viscéral, vers cet envers de la mort qui est précisément le côté qu'elle leur présente, qu'elle leur fait rudement sentir et qui ressemble beaucoup plus à un fardeau qui les écrase, à une difficulté de respirer, à un besoin de boire, qu'à ce que nous appelons l'idée de la mort
(Samuel Barber) : la comprend-il assez, sa sonate, le petit misérable.
(Napoléon Bonaparte) : certaines vies sont le résultat d'accidents historiques.

Scène 17

(Henri Purcell) : mon cœur battait. C'est possible. Et. De plus.  d'autre part.
(Napoléon Bonaparte) : non, il ne veut pas.
(Napoléon Bonaparte) : l'influence anesthésiante de l'habitude ayant cessé, je me mettais à penser, à sentir, choses si tristes.
(Napoléon Bonaparte) : cependant que. Tandis que. Certes.  de sorte que…

Scène 4

(Napoléon Bonaparte) : comment, seulement deux heures?
(Pierre Boulez) : de telle sorte que. Certes. En sorte que, si c'était ridicule, pourquoi disait-il la hiérarchie ? Un instant après il ajouta…
(Napoléon Bonaparte) : l'humain a toujours cru au pouvoir secret des mots.
(Luciano Berio) : Ike marche sur les mains.
(Napoléon Bonaparte) : en d'autres termes. C'est alors que. C'est alors que…

Scène 8

(Georges Auric). : plus tard, sentir qu'on possède le cœur d'une femme peut suffire à vous en rendre amoureux.

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