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Théâtre-Roman
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14 novembre 2012

Acte II

Scéne 21 : Jean-Baptiste Lully :
Si c'était ridicule, pourquoi le disait-il à sa hiérarchie ? Un instant après il ajouta…

Scène 17 : Henri Purcell :
Ma mère pensait qu'un mot d'elle effacerait toute là peine que dans notre famille on avait pu faire à un personnage depuis son mariage.

Scène 22 : Jean-Baptiste Lully:
Il est plus doux et plus clair que la lune.

Scène 17 : Anton Webern :
Désormais. Elle devina sans doute que son amie penserait qu'elle n'avait dit ces mots que pour la provoquer à lui répondre par certains autres, qu'elle avait en effet le désir d'entendre, mais que par discrétion elle voulait lui laisser l'initiative de prononcer.

Scène 17 : Jean-Baptiste Lully
Désormais. Désormais… Peut-être, mais alors, et les autres?

Scène 15 : Jean-Baptiste Lully :
Combien naïves et paysannes en comparaison sembleraient les églantines qui, dans quelques semaines, monteraient elles aussi en plein soleil le même chemin rustique, en la soie unie de leur corsage rougissant qu'un souffle défait.

Scène 2 : Giuseppe Verdi :
Quand elle avait proféré sa requête, elle observait ma tante à la dérobée, tâchant de deviner dans l'aspect de sa figure ce que celle-ci avait pensé et déciderait. On lit parfois une vie comme on lit un journal.

Scène 28 : Marc Antoine Charpentier
Ma seule consolation, quand je montais me coucher, était que maman viendrait m'embrasser quand je serais dans mon lit. Un personnage ne parle jamais pour ne rien dire.

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