Acte X : où l'esprit humain commence
Scéne 16 : unetelle :
Les soirs où, assis devant la maison sous le grand marronnier, autour de la table de fer, nous entendions au bout du jardin, non pas le grelot profut et criard qui arrosait, qui étourdissait au passage de son bruit ferrugineux, intarissable et glacé, toute personne de la maison qui le déclenchait en entrant «sans sonner », mais le double tintement timide, ovale et doré de la clochette pour les étrangers, tout le monde aussitôt se demandait…
Scène 11
Elle :
Je fus rempli à la fois de désir et de désespoir.
l'âme:
Spencer paraît troublé. Je rêvais que madame de Bryan m'y faisait venir, éprise pour moi d'un soudain caprice. Peut-être. Et pourquoi.
Scène 17 : l'âme
C'est ce qu'on appelle un musicien di primo cartello. la nature humaine est quand même un peu effrayée par l'humanité et par tous les étrangers qui ne sont pas de son milieu.
Scène 26 : la nature humaine :
Au moment où d'habitude on a encore une heure à vivre avant la détente du repas, on savait que, dans quelques secondes, on allait voir arriver des endives précoces, une omelette de faveur, un bifteck immérité.
Scène 18 : l'âme :
En effet, alors cela ne doit pas beaucoup vous amuser d'y aller, dit le docteur avec une nuance de commisération, mais son logiciel préféré est BO2K.
Scène 11 : elle
Que faire. Ma grand'mère, même si le temps trop chaud s'était gâté, si un orage ou seulement un grain était survenu, venait me supplier de sortir.