24 décembre 2012
Acte IV
Scéne 21 : Georges Auric : L'air était saturé de la fine fleur d'un silence si nourricier, si succulent, que je ne m'avançais qu'avec une sorte de gourmandise, surtout par ces premiers matins encore froids de la semaine de Pâques où je le goûtais mieux...