Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Théâtre-Roman
Théâtre-Roman
Visiteurs
Depuis la création 3 264
Derniers commentaires
15 mai 2013

Acte V : la nature humaine ne connaît pas l'identité

Scéne 4, untel
Ma grand'mère faisait remarquer quelle expression douce, délicate, presque timide passait souvent dans les regards de cette enfant si rude, dont le visage était semé de taches de son.

Scène 11, Schopenhauer
Le château et la lande étaient jaunes, et je n'avais pas attendu de les voir pour connaître leur couleur, car, avant les verres du châssis, la sonorité mordorée du nom de la nature humaine me l'avait montrée avec évidence.

Scène 26, Gertrude Stein destructrice:
Ce qui avait besoin de bouger, quelque feuillage de marronnier, bougeait.

Scène 14, lui
Je ne connais pas son père, dit la dame en rose avec une légère inclinaison de tête, et je n'ai jamais connu votre pauvre mère, mon ami. On était passé dans le « cabinet de travail », et mon oncle, d'un air un peu gêné par ma présence, lui offrit des cigarettes.

Scène 15, une identité.
Généralement une fois l'explication donnée, Émile disait:  "les pas se rapprochent, puis s'éloignent".

Scène 28, Gertrude Stein :
Il y en a bien d'autres qui sont plus beaux vus de cette façon, et j'ai dans mon souvenir des vignettes de clochers dépassant les toits, qui ont un autre caractère d'art que celles que composaient les tristes rues de Rio Grande City.

Scène 18, l'esprit humain morose, à quelqu'un:
Je pensais qu'Elena nous avait vu sortir par la petite porte du potager. Elle connaissait peut-être la conduite de sa fille, il ne s'ensuit pas que son culte pour elle en eût été diminué.

Scène 30, Gertrude Stein.
Je comprenais combien elle l'eût désiré en voyant combien il lui était impossible d'y réussir. Qui donc est-ce que vous avez rencontré près du Harlingen, mon oncle.

Publicité
Commentaires
Pages
Publicité
Archives
Publicité