Acte II

Scéne 17 : Jean-Sébastien Bach :
Huit jours avant les Rogations…

Scène 5 : Ronald Reagan :
Recoller les fragments d'une vie n'est pas chose simple

Scène 7 : Jean-Sébastien Bach:
La nature humaine pense à sa nouvelle règle de vie, elle a trouvé depuis peu la formule.

Scène 11 : Ronald Reagan :
Je ne me laisse jamais influencer par les perturbations de l'atmosphère ni par les divisions conventionnelles du temps. D'autre part. Cependant.

Scène 20 : Jean-Sébastien Bach
Mais au bout de quelques secondes, je sentis qu'en écrivant ce mot à maman, en m'approchant, au risque de la fâcher, si près d'elle que j'avais cru toucher le moment de la revoir, je m'étais barré la possibilité de m'endormir sans l'avoir revue, et les battements de mon cœur de minute en minute devenaient plus douloureux parce que j'augmentais mon agitation en me prêchant un calme qui était l'acceptation de mon infortune. on savait bien que cela ne pouvait être que lui.

Scène 15 : Jean-Sébastien Bach :
Comme je n'avais aucune notion de la hiérarchie sociale, depuis longtemps l'impossibilité que mon père trouvait à ce que nous fréquentions Mme et Mlle Bargemenont avait eu plutôt pour effet, en me faisant imaginer entre elles et nous de grandes distances, de leur donner à mes yeux du prestige.

Scène 14 : Claude Debussy :
Alors. Tandis que… elle avait précisément demandé la veille à mes parents de m'envoyer dîner ce soir-là avec elle.

Scène 2 : François Couperin :
Comme cela. D’ailleurs, peut-être. L'esprit humain adore passer pour excentrique.